Nelli Szanto, notre ambassadrice G4 nous a annoncé une merveilleuse nouvelle il y a quelques mois maintenant ! Elle va être maman et à l’heure où nous écrivons cet article, ce n’est plus qu’une question de temps avant que son enfant naisse. Mais Nelli est coach sportive, il était donc inconcevable pour elle d’arrêter le sport pendant sa grossesse. Nous l’avons alors suivi tout au long des neufs mois et elle va vous rassurer… faire du sport enceinte, c’est possible !
Faire du sport enceinte – 1er trimestre
« Le mardi 15 janvier 2019, mon test de grossesse est positif. Une semaine plus tôt, j’avais des signes étranges : ma poitrine me faisait mal, je profitais de mon temps libre pour aller au lit et j’avais un désir insoutenable de jus d’orange. J’ai donc parlé avec Nori (ma gynécologue que je coach en course à pied !) de ces signes et elle m’a conseillé de faire mon test. Evidemment, il était positif et je me suis empressée de prévenir Cuco qu’il allait être papa. Même si nous étions heureux, il était difficile de réaliser ce qu’il nous arrivait. Cuco m’a même dit « tu es autant enceinte que ça ?! » après lui avoir expliquer que je me fatiguais plus vite… Au 31 janvier, lorsque nous avons entendu le battement du cœur de notre bébé, il a réalisé que j’étais vraiment très enceinte !!
Pendant les trois premiers mois, je n’ai pas ressenti de différence sur ma capacité de travail ! En revanche je passais l’ensemble de mon temps libre à dormir… j’ai tout de même annoncé rapidement à certains de mes clients ma grossesses. Je ne souhaitais pas non plus me surcharger de travail.
Mes journées pendant les premiers mois
Mes journées étaient sensiblement les mêmes durant le premier trimestre. Le réveil sonnait à 5h30 du matin, je prenais mon petit déjeuner pour commencer à courir à 7 heures. J’ai l’habitude de courir 10 kilomètres avec mes clients. Mon parcours est souvent le même, dans les bois, à l’air frais. Je pense que c’était positif pour le bébé ! Et puis je prenais avec moi ce qu’il fallait pour m’alimenter, à boire et à manger. En rentrant, je me couchais généralement pour une sieste de 40 minutes. Ensuite, je passais l’après midi à la planification d’entraînements pour mes sportifs ! je commençais ma nuit au plus tard à 22 heures (bonne nuit de sommeil d’environ 8 heures).
Ce rythme, je pense, m’a aidé à ne pas ressentir de nausées durant les trois premiers mois. J’ai continué à courir avec les sportifs que je pouvais suivre et je fournissais aux autres leurs plans d’entraînements et les contactais régulièrement pour avoir de leurs nouvelles.
Au fur et à mesure des trois mois, j’ai réduit mes entraînements en charge mais également en volume pour ne pas trop forcer non plus. En moyenne je courrais deux tiers de moins qu’avant. J’étais entre 6 et 12kms de course à pied par jour en fonction de mon ressenti.
Et l’alimentation ?
De ce côté-là je suis assez satisfaite. J’étais obsédée par les tomates, la compote, les pattes ou encore les prunes… Rien de bien mauvais pour la santé. Les envies ne se contrôlent pas lorsque l’on est enceinte mais celles-ci étaient appréciables.
Faire du sport enceinte – 2ème trimestre
Le deuxième trimestre a été plus simple, tous mes clients été enfin au courant de ma grossesses et ils ont été très compréhensifs. Côté physique, mes crises de sommeil s’étaient complètement arrêtées. Plus besoin de dormir des heures après le moindre effort. Et ça c’est une satisfaction. Ça m’a permis de continuer à travailler au même rythme sans trop me fatiguer. Par contre les mouvements étaient plus lents et plus difficiles qu’avant (faire mes lacets par exemple).
Le 12 Mars c’était l’heure de savoir le sexe du bébé ainsi que l’état de sa santé et de son développement ! Nous étions très excités à l’idée de se rendre à cet examen ! tout allait bien et il semblait que le bébé était une fille. Nous avons alors commencé à annoncer la nouvelle puisque mon ventre commençait vraiment à grossir ! Il est difficile de se cacher à partir de ce moment-là. Puis les échographies se succédaient et tout se passait merveilleusement bien. L’infirmière étant même étonnée de l’état de mon rythme cardiaque au repos. Alors que je suis à 42 battements par minutes au repos habituellement, j’étais à 56 en étant enceinte. Le sport m’a donc beaucoup aidé pendant cette grossesse.
Moins de course à pied mais du vélo !
Jusque-là j’avais réussi à courir régulièrement sans me soucier du poids en plus. Je me sentais bien, alors je courrais. J’ai effectué 1 120 km à pied en 30 semaines. Après, j’ai commencé à m’inquiéter et je ne voulais plus courir. Par contre mon ventre n’était pas assez gros pour arrêter mes envies de faire du vélo. En vacances avec mes parents et Cico par exemple, j’ai roulé 80 kilomètres. Bien évidemment je ne roulais pas à mon rythme habituel, mais un rythme dans lequel je ne subissais pas trop d’impulsions. Nous nous sommes arrêtés très régulièrement pour se reposer et je me suis très bien alimentée.
Merci G4 pour les tenues de vélo !
En plus j’étais très bien équipée pour rouler enceinte avec les tenues G4 ! les cuissards femme sans bretelles sont vraiment parfaits. Un tissu qui s’adapte à toutes les morphologies, il ne me serrait donc pas de trop. Il s’est fait à mon nouveau corps ! Au niveau du ventre, il n’y a pas d’élastique, c’est déjà très agréable lorsque l’on n’est pas enceinte mais c’est encore plus appréciable une fois qu’on l’est.
Faire du sport enceinte – 3ème trimestre
Les séances de sport ont commencé à être de plus en plus difficiles ! le poids du ventre était trop important et mes mouvements plus limités. Je ne souhaitais pas prendre de risques pour le bébé. Mais la différence entre le 1er, 2ème et le troisième trimestre vient essentiellement du poids du ventre et de la mobilité. Ça ne m’a en revanche pas empêché d’assister à des séances de sport de mes clients sur le banc à donner des instructions !
Au niveau du sommeil de l’alimentation, j’ai recommencé à beaucoup dormir et par contre j’ai très peu mangé. La place dans mon ventre était moindre et je faisais moins d’efforts physiques donc j’avais moins besoin de manger.
A présent je suis dans la dernière semaine et il semblerait que le temps s’est arrêté. Je n’ai pas vu les semaines passées jusqu’ici mais maintenant, j’attends avec impatience de rencontrer ma fille ! ».
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